J’aurai l’occasion de revenir sur le sujet, même si le village n’est pas immense, il y a pa mal à observer. Arrivés hier vers 13h00, nous avons remisé les plans préétablis, et nous sommes laissé guider par le chauffeur de taxi qui nous a déposés au coral cove, conte la promesse d’avoir mieux que ce que nous espérions sans avoir de réservation. Au premier abord, tout baigne. Au second rabord, il y a de l’eau dans le gaz. Enfin, pas plus d’eau que de gaz : la distribution d’eau et d’électricité est déficiente. Pas d’eau parce qu’il n »y a pas d’électricité : juste pour « one half hour ». nous attendons patiemment la connexion wifi (qui se revelera assez étroite pour compromettre le transfert d’images), la douche qui se réduit à un pipi de chat et la chaleur emmagasinée dans la chambre ne se dissipe pas avec la fin de la journée, la seule fenetre est en plein sud-sud-ouest. Nous sommes allés découvrir la falaise, descendre à la plage, reconnaitre les lieux et déguster un poisson « grillé». Au retour, vivement la douche. Pas de douche, pas d’eau. Signaler le fait au gardien, attendre 5 minutes, dix minutes. Le moteur est en panne, il va repartir. Quand enfin nus avons un filet d’eau, elle est bouillante. Impossible même de rentrer dans la salle d’eau pour fermer le robinet. J’ai beau tempêter, surtout devant les voyageurs qui arrivent pour la nuit et qui espèrent eux aussi une bonne douche après une journée de voyage, nous passerons la nuit sans avoir pu nous doucher. « Demain vous changerez de chambre ». Inutile d’ajouter que je n’étais pas d’humeur a écrire ce jeudi 28. Mais ce matin tout va mieux. Nous commençons par aller prendre une petit déjeuner au café del Mar. Café latte, pain brun grillé/confiture. Quand nous revenons, la chambre promise est libérée. Nettoyage rapide et la douche est enfin disponible ! Mon humeur s’en ressent, le baromètre remonte vers les zones de haute pression où le ciel est bleu- gris comme la mer dans laquelle il se confond.