Il va de soi que la majorité des conducteurs ici sont à l’air libre, sauf bien sur les chauffeurs des grosses berlines à air conditionné. Les rickshaw motorisés (ici au Kérala il n’y en a pas d’autres) sont ouverts à tous vents. Les voitures anciennes, les bus ordinaires, les camions circulent vitres baissées. Ou levées : dans les bus, on trouve des fenêtres à guillotine en guise de carreaux. Les scooters n’ont pas de carrosseries. Et les motos non plus. Ha ces motos ! bien sur on trouve des Hondas et d’autres importations, mais le symbole de l’Inde, c’est la Enfield en 250 ou de préférence 500 cc, fabriquée sur place, assez robuste, pour laquelle on trouve des pièces détachées dans tout le ays, que tous les mécanos savent réparer. Un look un peu ancien, avec un gros réservoir entre le guidon et la selle, de grandes roues, une position un peu allongée, une bonne maniabilité, une stabilité satisfaisante, il faut dire que ça en jette ! Non, pas de photos cette fois-ci non plus, avec un débit de 74k, faut pas trop demander.