Si l’on peut dire, puisque nous n’avons pas bougé. Mais dès avant midi, nous avions - réservé une voiture pour trois jours - abandonné l’idée de faire le tour de la presqu’île en bus (en cause le cout et le fait d’être soumis à un parcours obligés) - trouvé un logement pour les nuits qui suivront notre passage à puerto pyramides - déniché un bistrot où manger du poisson et des légumes, sans nous ruiner Et décidé de consacrer notre après midi à ne rien faire, donc par exemple, aller jusqu’à l’ecomusee. Ouche! Une ballade de plus de 5 km, un visite sympa, mais qui ne nous apprend qu’une chose, cad que les musées et nous… Mais aussi l’occasion de décider de revenir au camping ACA plutôt qu’a l’auberge. Et enrichi notre Connaissance des usages locaux: comment prendre un bus quand on ne sait ni quand il passe, ni où il s’arrete, ni comment payer le ticket. Ne pas oublier qu’en Argentine la monnaie est une denrée rare et que les composteurs des bus locaux ne fonctionnent qu’avec des pièces rarissimes. Ouf, notre espagnol ?(castechano!) s’implemente de nouveaux mots, comme bachena, marivache, etc (ballena, mar y valle) L’essentiel dans tout ça? Ne pas s’imaginer qu’il existe des obstacles insurmontables. Celui qui déplace la montagne, c’est celui qui déplace une Pierre (lao tseu)