Une petite remarque en passant Maruti-Suzuki, Popular-Honda, Ashok-Leyland, il y en a probablement d’autres pour succeder à L’Ambassador Austin. La construction automobile en Inde, en dehors des Tata (bus, camions, berlines puis « auto » (c à d tuktuk) ) semble basée sur des joint venture. Finalement une assez bonne solution pour un pays où la main d’œuvre est abondante, la production industrielle un peu en panne, et le marché intérieur à construire de toutes pièces, car ce ne sont pas les rares millions d’Indiens constituant les classes moyennes et aisées qui pourront porter une croissance nécessaire. Du travail pour tous, et ceux qui n’en ont pas s’en créent. Mais peut être quelques coups de pouce peuvent ils se révéler nécessaires pour soutenir les investissements.