Les touristes, les touristes partis le village petit à petit retrouve face à lui -même Sa vérité, ses problèmes La grosse saison touristique touche à sa fin il n’y a plus assez de monde pour faire des affaires. impossible de baisser les prix, ils sont déjà trop, bas, mais on n’a que très rarement l’occasion de les augmenter un peu pour arrondir la journée. Sauf bien sur le cas où on n’a pas de monnaie. toujours avoir de la monnaie sur soi, c’est le nerf de la guerre. Kovalam est un village pour touristes. La digue sur laquelle s’ouvre l’hôtel où on nous a logé donne sur la plage, et on ne trouve quasi pas un indien ici. Beaucoup de jobs sont trustés par des étrangers : malais, bengali, srilankais… On pensait être hébergé dans un home stay (une famille, genre B&B) mais sans en connaitre la raison nous avons été redirigé vers un hôtel. Pas très plein d’ailleurs. Mais confortable, avec de bons moyens de lutter contre la chaleur. Ce qui se révèle fort nécessaire. Les indiens, petits métiers comme tailleurs, cordonniers, on les trouve dans les ruelles en retrait de la digue. Le contact est meilleur là. même s’il faut rester sur ses gardes, car l’arnaque fleurit abondamment